West Highland White Terriers – Originaire d’Écosse, le West Highland White Terrier a été élevé à l’origine pour chasser et éliminer les insectes, mais il est maintenant mieux connu comme animal de compagnie. Très apprécié pour son beau pelage blanc et sa personnalité courageuse, le West Highland White Terrier est depuis longtemps l’une des races les plus populaires de Grande-Bretagne et est également très populaire aux États-Unis. Cette race est connue pour avoir le tempérament typique des terriers, mais est légèrement moins sévère que de nombreux autres membres du groupe. Le West Highland White Terrier est communément surnommé le Westie, mais il est également connu sous le nom de Roseneath Terrier, White Roseneath Terrier, Pittenweem Terrier, Poltalloch Terrier et White Scottish Terrier.
Le West Highland White Terrier est l’une des plus petites races de terriers et ses origines sont mieux connues que la plupart des autres membres de la famille. Les chiens sont une race et un groupe de races endémiques à l’origine des îles britanniques. Bien que ces chiens aient servi à plusieurs fins au fil du temps, leur rôle principal en Angleterre et en Écosse était de combattre et de chasser les insectes. Pendant des siècles, ces chiens ont été élevés par des agriculteurs britanniques, principalement assez petits pour chasser des créatures telles que des blaireaux et des renards dans leurs terriers. Le mot Trèves reflète cela. C’est un mot composé du latin ‘Terrarius’ et du français ‘Terre’, signifiant ‘terre’ ou ‘terre’. Le mot terrier peut être traduit grossièrement par “celui qui va au sol”, ce qui décrit avec précision l’art de la chasse. Selon l’Oxford English Dictionary, le mot terrier est apparu pour la première fois en 1440. Cela signifie que ces chiens étaient déjà connus à cette époque. Cependant, la plupart des experts pensent que ces chiens sont beaucoup plus âgés.
West Highland White Terriers
Après le 1er siècle après JC, l’Empire romain a renforcé le contrôle sur l’Angleterre et le Pays de Galles actuels. Éleveurs de chiens hautement qualifiés, les Romains étaient incroyablement impressionnés par les chiens britanniques et, à l’époque romaine, les chiens étaient l’une des principales exportations de la Grande-Bretagne. La race la plus célèbre était le Pugnaces Britanniae, un énorme chien de guerre utilisé par les Romains pré-celtiques et considéré comme un Mastiff anglais ou un Irish Wolfhound. Cependant, divers types de petits chiens, considérés comme les ancêtres des terriers et des épagneuls Springer, étaient également souhaitables. L’implication évidente est que les terriers sont en Angleterre depuis au moins le 1er siècle et étaient déjà utilisés pour la chasse. Une forte crédibilité pour cette croyance peut être trouvée au sud des ruines du mur d’Hadrien, que les Romains ont construit pour protéger les possessions britanniques des féroces et indomptables peuples pictes et gaéliques vivant dans ce qui est aujourd’hui l’Écosse. Les artefacts de la région du 1er siècle comprennent les restes de deux types de chiens différents. L’un était un chien de taille moyenne qui serait presque identique à un Whetpet moderne ou à un petit lévrier. L’autre était un chien aux pattes courtes et au corps long semblable à un teckel ou un sky terrier moderne. Le fait que ces deux chiens aient été trouvés ensemble indique que les Romains utilisaient déjà des chiens comme ils le font aujourd’hui. Un chien ou un chien puant plus gros et plus rapide identifie le gibier et le poursuit. Lorsque la proie s’échappe vers un terrier sûr, un chien têtu est envoyé au terrier pour tuer sa proie et la ramener à la surface. Compte tenu de l’ère de la découverte et de sa proximité avec la frontière écossaise, il est prudent de supposer que des chiens à pattes courtes et au corps long se trouvaient en Écosse avant la naissance du Christ. En raison du manque extrême de données archéologiques et historiques, il est impossible de dire avec certitude l’origine de cet ancien chien, si ce n’est qu’il s’est presque certainement développé dans les îles britanniques et qu’il pourrait avoir un lien avec l’Irish Wolfhound. et Canis Segusius, un chien à tête filaire qui appartenait aux Celtes pré-romains de la France et de la Belgique modernes.
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Cependant, la première fois qu’il a été développé, il est devenu plus précieux pour les éleveurs de chiens. Pendant des siècles, les chiens ont été élevés principalement par des agriculteurs ruraux pour les utiliser pour éliminer les insectes nuisibles aux cultures et au bétail, et pour prévenir la faim et les maladies. Les chiens étaient utilisés pour chasser et tuer presque tous les types de mammifères de petite et moyenne taille dans les îles britanniques, y compris les rats, les souris, les blaireaux, les renards, les loutres, les visons, les chats sauvages, les lapins et les lièvres. À ce stade, les chiens étaient élevés presque exclusivement pour le travail, et l’apparence n’était que suffisamment importante pour affecter leur capacité à travailler. Bien qu’un grand nombre de chiens domestiques aient été développés en raison des conditions locales et des préférences d’élevage, ce ne sont pas de véritables races au sens moderne du terme. Ils étaient plus proches des races terrestres, avaient des formes très diverses et se croisaient souvent. Les terriers écossais étaient généralement courts et courts, donc non seulement ils pouvaient s’intégrer dans les terriers de leurs proies, mais ils étaient suffisamment bon marché pour que même les agriculteurs les plus pauvres puissent se permettre au moins un coût. Les chiens à poil dur se trouvent également en Angleterre, au Pays de Galles et en Irlande, mais le type de pelage est particulièrement pertinent pour l’Écosse.
Les traits les plus connus du Scottish Terrier sont peut-être la dureté et la ténacité extrêmes. Une grande partie de l’Écosse est couverte de terrains très difficiles et difficiles, en particulier dans les hautes terres. Non seulement le terrain est difficile, mais le climat peut être extrêmement froid. Les conditions de haute altitude rendent la vie très difficile pour les humains et les chiens. La sélection naturelle aurait anéanti tous les terriers qui ne pouvaient pas survivre dans la région. De plus, il y avait un manque de ressources gratuites pour les chiens qui ne remplissaient pas bien leur rôle, et les chiens inadaptés se noyaient et s’endormaient généralement. Pour tester les capacités de chasse du chien, un petit chien est placé dans un tonneau avec une loutre ou un blaireau vivant. Les deux sont connus pour être extrêmement féroces. Cela conduisait toujours à un combat à mort entre un chien têtu et une bête. Les chiens qui réussissaient le test étaient considérés comme méritant d’être nourris, et ceux qui ne le faisaient pas n’étaient plus un problème. Cela peut sembler trop dur à l’œil moderne, mais la protection contre les insectes était désespérément nécessaire lorsque la nourriture et l’argent pour garder un chien étaient considérés comme essentiels lorsque la survie de la famille était extrêmement difficile.
Finalement, plusieurs races de terriers ont été développées en Écosse, mais ont été élevées régulièrement. Peu à peu, la situation économique de l’Écosse s’est améliorée et un programme d’élevage de chiens plus organisé a pu être lancé. Ce programme est inspiré du Foxhound anglais. À partir des années 1700, les éleveurs de Foxhound ont commencé à organiser des livres de chevaux pour améliorer la qualité des chiens et maintenir l’obéissance. Les résultats ont été si réussis que les éleveurs de chiens ont commencé à faire de même. Garder de nombreux chiens était encore très coûteux, de sorte que la plupart (mais pas tous) des grands programmes d’élevage de chiens ont été lancés par de riches propriétaires. À une certaine époque, les terriers écossais variaient considérablement en apparence, en type de pelage et en couleur, mais au cours du 19e siècle, ils sont devenus de plus en plus standardisés. Certaines des races les plus courantes ont fini par être connues sous le nom de Scottish Terriers, Skye Terriers et Cairn Terriers, mais toutes les trois ont été considérées comme la même race à un moment donné. Bien que maintenant largement unis et séparés, au 19ème siècle, ces trois chiens étaient très divers et n’étaient pas complètement distincts les uns des autres.
Avec quelques hésitations, le chien blanc a été élevé dans une litière de couleur naturelle. Il est bien connu que le blanc a été introduit par les Maltais et les Bichon Frisés qui ont survécu au naufrage de la flotte espagnole, mais il s’agit probablement d’une légende. Ce chien était considéré comme inférieur car il était considéré comme plus faible, moins stable et moins gastro-intestinal que les autres chiens. C’est une pratique traditionnelle de noyer les chiots blancs lorsqu’ils sont clairs. Cependant, au cours des dernières décennies du 19e siècle, les attitudes ont commencé à changer et au moins trois lignées distinctes de Highland Dogs d’un blanc pur se sont développées. La date exacte de sa fondation n’est pas connue, mais la plus ancienne de ces lignées aurait été élevée par George Campbell, 8e duc d’Argyll. Duke a élevé une race blanche solide de Scottish Terrier, peut-être à cause de sa préférence pour la couleur. Son chien blanc était connu sous le nom de Roseneath Terrier. Dans le même temps, le Dr Fife. Amérique Edwin Flaxman possédait une femelle Scottish Terrier qu’il appréciait beaucoup et désirait élever. Ça disait
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